Et le crédit doit aller au
Et le crédit doit aller au général Petraeus, le général Odierno, et l'ambassadeur Crocker pour prendre ce qui souvent étaient des idées, très vaguement défini, et les politiques qui ont été très largement indiqué, et les transformer en une remarquable efficacité dans le monde réel effort.It est important de noter que nous avons fait encore plus d'erreurs en Afghanistan que nous avons fait en Irak. Nous étions beaucoup plus lent à réagir, mais dans les deux cas, nous n'étions pas préparés à des opérations de stabilisation,sac a main Guess moin cher nous avions des objectifs irréalistes édification de la nation et, au niveau politique, nous étions dans un état de déni de la gravité de la colère populaire et la résistance, de la montée de l'insurrection, à propos de la nécessité d'un soutien du pays hôte et des forces, et nous avons eu une combinaison singulièrement malheureux d'un ministre de la défense et d'un vice-président qui a tenté de gagner à travers l'idéologie plutôt que de réalisme et d'un secrétaire d'État qui pour l'essentiel se rangea de bon nombre des questions soulevées. Et pour être honnête, plutôt que de blâmer les subordonnés, vous avez eu un président qui, fondamentalement, a fallu attendre fin 2006 pour comprendre à quel point il était mal à en Irak et semble avoir pris jusqu'à la fin de 2008 pour comprendre à quel point il était mal à l'Afghanistan.28 juin 2007 le plan d'immigration de Bush, un effort bipartisan qui représente la tentative la plus ambitieuse de revoir la politique d'immigration américaine en une génération, descend à la défaite au Sénat. L'élément le plus controversé est une disposition qui permettrait aux quelque 12 millions d'étrangers en situation irrégulière déjà aux États-Unis de prendre des mesures pour légaliser leur statut, à la citoyenneté une possibilité éventuelle.sac a main Gucci pas cher La disposition fait enrager beaucoup en propre parti de M. Bush, qui l'appellent l'amnistie et le voir comme une menace pour la sécurité.Mark McKinnon, chef de campagne médiatique conseiller de George W. Bush: Je soupçonne serait que c'est un vrai regret [du président]. C'est une question dont nous avons parlé au début de la campagne de 2000, et il a été dit par les conseillers que c'était le troisième rail, ou peut-être le quatrième rail de sécurité sociale est le troisième rail. Mais c'est aussi une question qui a attiré des gens comme moi à lui. Types centristes, les types indépendants au Texas ont été attirés à lui parce qu'il était un républicain qui a parlé d'un rôle limité mais appropriée pour le gouvernement sur des questions comme l'éducation et l'immigration. L'immigration a été l'un de ses aspects les plus sincères.sac a main Gucci moin cher
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